Le bar de la piscine est ouvert!

Eh bien voilà, c'est fait.

Ce blog est enfin actif et le compteur de billets est initialisé à "un". Enfin, ne vous méprenez pas: si je fais allusion au compteur de billets, n'allez pas imaginer que je manie l'imprimante dans mon arrière-cour, non. Il s'agit simplement du premier post de ce blog.

Alors ok, je suis d'accord avec vous, vous vous dites: "encore un qui va nous abreuver de sa misérable vie, nous faire l'affront de publier des détails affligeants écrits avec les pieds". Et pourtant, et pourtant... je me vois forcé de vous détromper, et croyez bien que ce n'est pas de gaité de cœur.

Non en fait, mon intention première est de déverser ici mes réflexions, décousues, sur ce pays en voie de décomposition, les turpitudes du personnel politique (car il me répugne de les appeler "élites politiques"), les niaiseries pantelantes des média, les fadaises des gauchistes de tous bords, les pleurnicheries des assistés congénitaux toujours plus nombreux et autres navrances en tous genres qui fleurissent gentiment partout même si ce n'est pas la saison.

En fait, ce blog sera mon exutoire, ma psychothérapie de groupe qui me permettra de conserver un semblant de santé mentale ou pour le moins, de m'en donner l'illusion. Comme les sujets précités sont notoirement anxiogènes, ceux-ci seront traités principalement par l'humour, la moquerie, parfois la colère, et rarement sérieusement. Bien entendu, le rythme des publication sera totalement aléatoire et soumis à mes caprices, mais surtout au temps que je pourrai dégager, parce qu'il ne faut quand même pas rigoler, j'ai un métier, et surtout une marmite à faire bouillir, ce que ce blog ne sera pas capable de faire.

Etant un libéral convaincu, voire un ultra-libéral, voire un turbo-libéral mangeur d'enfants communistes et/ou de chatons innocents, un infâme capitaliste affameur du prolétariat, et surtout par manque de temps si jamais je venais à être lu massivement, les commentaires ne seront pas modérés. Vous êtes donc invités à me laisser vos commentaires qui seront immédiatement partagés pour tous les éventuels lecteurs qui se seraient aventurés ici par erreur ou pire, après une réflexion murement et délibérément choisie.

Voilà, après cette (très) brève introduction, place au premier réel billet à venir…